L'imbrication est le processus logiciel où on place les pièces sur la tôle "virtuelle" à découper en optimisant le placement pour réduire les chutes tout en améliorant la vitesse de découpe.

C'est ainsi que l'on nomme ces dents qui servent de support aux plaques lors de la découpe.

Elles permettent notamment de laisser passer les cendres issues du travail du laser !

 De la réalisation d'un devis à la livraison client en passant par la chaine de production, tout est flux !

A l'atelier du laser, le flux est visible via des outils logiciels puissants développés en interne mais surtout par une équipe qui a chacun son rôle dans la fluidité de ce flux.

Les pièces séparées par la coupe au laser, il ne reste que le squelette de la plaque de tôle.

Ce squelette repart à la fonte pour redevenir une nouvelle plaque 🙂

Vous êtes plutôt tôle ou feuille ?

C'est ainsi qu'on désigne les pièces de métal qui seront utilisées pour découper des pièces.
Suivant qui on est, on utilise plutôt l'un ou l'autre.

A l'atelier, ils disent plutôt tôle. Dans les bureaux, c'est la feuille qui l'emporte. Les fournisseurs emploient plus souvent ce terme.
Mais vous faites comme vous voulez !

Non, ce n'est pas un phénomène physique mais bien le terme utilisé pour décrire le volume et le nombre de commandes entrées dans le flux de production.

Sa valeur indique de façon claire les conséquences sur les temps machine et les délais de production.

Un outil redoutable pour bien planifier !

Ce sont deux technologies laser différentes.

La fibre est plus adaptée pour le métal et est plus rapide. Le CO2 est adapté pour les matériaux non métalliques et peut découper du plastique.

Des technologies adaptées en fonction des matériaux

Un outil indispensable pour du travail bien fait.
La grignoteuse sert à enlever la matière résiduelle brulée par les lasers sur les peignes (support des plaques de tôles à découper).

Sans elle, il faudrait des heures de dur labeur pour maintenir en état le support des plaques à découper.

Vous le trouverez dans chaque poche de nos opérateurs. Il permet lors des sorties de découpe de pièces de retirer des dépots éventuels de métal dans les trous.

Avec cet objet, on peut donc les chasser hors de la pièce.

Une vérification indispensable pour les clients.

C'est un dispositif permettant d’éviter les erreurs d'assemblage, de montage ou de branchement.

Coupez vos pièces en plusieurs parties, puis facilitez le montage et l’assemblage en utilisant le détrompeur.

Nos équipes sauront vous donner les bons conseils pour le mettre au point !

Quand on fait de la coupe au laser au CO2, il se forme un dépot sur les pièces à l'endroit de la découpe. On parle de Calamine.

Mais si on découpe à l'azote, on réalise une coupe blanche et donc sans Calamine !

C'est propre, net et sans bavure !

Tout passe par elle !

C''est à travers la buse de coupe que le faisceau laser et le gaz de coupe parviennent à la pièce à usiner.

C'est pourquoi le choix de la buse est déterminant pour la qualité des pièces.

Non, ce n'est pas un mot d'argot pour dire qu'on se fend la poire mais une opération pour libérer les pièces après découpe.

Une opération manuelle qui peut prendre un peu de temps en séparant les pièces découpées du sequelette

Une opération claque réalisée par les salariés de l'atelier puisqu'il s'agit de découpe en deux ou en trois le squelette issu de la découpe.

C'est ainsi moins lourd et moins dangereux à manipuler.
Les bords sont en effet coupants mais surtout, c'est de l'acier !

 Il s'agit d'outils indispensables pour manipuler les tôles.

Le principe est simple. Des ventouses viennent se coller sur la surface de la plaque et un bras articulé permet une belle manoeuvrabilité autour de son axe.

Certains sont manuels d'autres automatiques.

La pièce test est utilisée par les opérateurs pour faire les réglages machines en vue d'une future découpe.

Cette pièce comprend une bonne partie des possibilités offertes par les découpeuses laser.

Elle possède des oreilles de Mickey.
A vous de les trouver 🙂